Majoric


Lettres à l’Enfant Intérieur et Contes de Fée # 8


CF-RES–8, le 9 mars 2007, Titre : Un coin obscur non visité chez Grand Chevreuil le rendait incapable de modérer son travail.

Début des lettres 

1- Lettre de l’adulte Majoric au petit Majoric à l’âge de bambin 

Bonjour Petit Majoric de deux ans et demi, je t’aime! Tu es très beau, et tu as l’air très intelligent avec tes beaux yeux bleus, ton visage expressif et ton regard vif. J’aime t’entendre parler, exprimer tes idées, et j’aime la manière dont tu apprends les choses de ton âge. Je suis très fier de toi! Tu as le droit de ne pas être d’accord avec ce qui se passe autour de toi et de vouloir être toi-même! Parle-moi, car j’aime t’entendre t’exprimer. Parle-moi, juste pour que j’entende les sons de ta voix et les mots que tu utilises. Lorsque tu bégayes, je t’aime d’avantage car j’admire ton courage!

Je t’aime, le moi-même de mon enfance! J’ai bien raison d’être fier de toi et d’apprécier tout ce que tu es.

Signé : Grand Majoric adulte, ton toi-même du futur. X X

Réponse du petit Majoric bambin à la lettre de l’adulte Majoric 

Majoric adulte (main dominante) : C’est correct que tu te comportes ainsi Petit Majoric blessé, tu es vraiment normal!

2- Lettre de l’adulte Majoric au petit Majoric d’âge scolaire 

Bonjour Petit Majoric en septième année du primaire. Lorsque je te vois, pendant les méditations de cette fin de semaine-ci, je prends conscience de ta souffrance, une souffrance que je connais très bien en tant qu’adulte, surtout où tu es, à cette école de la ville. À chacun de tes réveils matinaux, tu anticipes déjà ce qui pourrait t’arriver de douloureux pendant cette journée, alors la peur te pousse à assister à la messe à tous les matins : je te trouve très normal cher Petit Majoric de réagir de la sorte. Je constate que tu ne sais jamais quelle mauvaise surprise pourrait t’arriver lors de cette journée, surtout que personne ne sera là pour vraiment prendre soin de tes émotions ni te protéger pendant que tu es dans cette grosse école de la ville.

Par ailleurs, tu as le droit de ne pas toujours être en train de travailler sur la ferme. Tu peux passer du temps à ne rien faire!

Raconte-moi tout, je vais t’écouter. Je t’aime cher Petit Majoric! X X

Réponse du petit Majoric d’âge scolaire à la lettre de l’adulte Majoric 


CONTE DE FÉE    RES # 8, le 09 mars 2007 

Résumé du conte de fée # 8 : L’enfance de Grand Chevreuil avait été en tous points normale, du moins en apparence. Quel était le vrai sens du message de Sage Chevreuil lorsqu’i faisait allusion à des coins obscurs en Grand Chevreuil qui l’aurait poussé à s’étourdir dans le travail? Et que dire de ce personnage enfantin qui vivait dans le cœur de Grand Chevreuil? Pourtant, il semblait contrôler toute sa vie d’adulte? En quoi un groupe de soutien, jumelé à une thérapie individuelle et un travail en menuiserie ont-t-ils aidé au rétablissement de Grand Chevreuil? La prière arrivera-t-elle à le garder assis chez lui auprès de sa belle Conjointe Chevreuil, elle qui attendait ce moment depuis si longtemps?

Début du conte :

Note au lecteur : L’histoire est inversée en débutant par la vie d’adulte — Grand Chevreuil — pour aller vers l’enfance — Petit Chevreuil.

Une fois devenu grand, il était devenu un Grand Chevreuil arborant un magnifique panache, à ce qu’on disait, et lui aussi avait tendance à y croire. Mais pour une raison inconnue, il ne pouvait s’arrêter de travailler. Après trente années de loyaux services chez un même employeur, Grand Chevreuil prit sa retraite de l’électronique. Toutefois, désirant s’orienter vers la rénovation domiciliaire, il entra à l’école de menuiserie pendant toute une année.

Mais voilà qu’entre deux contrats de rénovation, Grand Chevreuil ne pouvait rester à ne rien faire dans sa belle maison qu’il avait entièrement rénovée; en fait, il était incapable de « perdre du temps ». Alors dans ses temps d’accalmie, il faisait du bénévolat, parfois jusqu’à l’épuisement total. Et sa Conjointe Chevreuil, une belle grande biche toute mince et très calme, l’attendait patiemment à la maison, préparant les repas, faisant le lavage et tout le magasinage nécessaire à la maisonnée. De plus, elle prenait les messages téléphoniques pour Grand Chevreuil, autant dans le domaine du bénévolat que pour le travail de la menuiserie. Elle espérait ainsi qu’il aurait plus de temps libre pour que tous deux soient davantage ensemble, mais, dans les faits, peine perdue, il n’en était rien.

Un soir de prédication religieuse à l’église des Chevreuils de sa ville, le prédicateur Chevreuil, un moine rempli de sagesse, avait semblé parler de lui en questionnant l’assemblée des Chevreuils : « Si tu n’es pas capable de t’arrêter un tant soit peu de travailler, se pourrait-il qu’il y ait des coins obscurs en toi que tu n’oses regarder, et qui t’obligent à choisir de t’étourdir de la sorte dans le travail? Ne serait-ce pas là ta justification intérieure de ne pas prendre le temps de t’arrêter et d’y regarder de plus près? » Cette question « résonnait » très profondément en lui, surtout que Grand Chevreuil était déjà exténué à la suite de sa toute première journée de travail après une période d’un mois sans aucun contrat. Exténué qu’il était ce soir-là d’avoir couru à gauche et à droite toute la journée! Quels étaient donc ces coins obscurs en lui que n’osait regarder notre grand, noble et sage Chevreuil, quasi en état d’épuisement physique alors qu’il était soi-disant à la retraite?

Et puis, à la suite d’une enfance dysfonctionnelle, Grand Chevreuil avait joint une fraternité de Chevreuils et Biches « très blessés » par la vie. De plus, il avait été près de huit ans en thérapie individuelle et avait pu ainsi guérir une multitude de blessures; il s’en trouvait toutefois encore plusieurs, dont certaines étaient très sensibles du fait qu’elles n’avaient jamais encore été visitées. Oui, certaines d’entre elles étaient vraiment bien dissimulées sous des formes presqu’invisibles pour Grand Chevreuil !

En travaillant à son rétablissement, Grand Chevreuil avait découvert son degré d’intelligence et la force de ses capacités intellectuelles lorsqu’il était temps de « diagnostiquer » des problèmes parfois très complexes, et où les connaissances multiples devaient être inters reliées entre elles par l’intelligence. Cette utilisation des connaissances, menant à la résolution efficace de problèmes, procurait une très grande satisfaction au Petit Chevreuil intérieur blessé de Grand Chevreuil. Toutefois, Petit Chevreuil intérieur croyait qu’il n’avait pas le droit de priver les autres chevreuils de son immense savoir et de tous ses dons. Il faut dire que Petit Chevreuil intérieur avait pris conscience de son intelligence, de son pouvoir intérieur toujours grandissant, de sa grandeur d’Âme, de sa noblesse et de sa grande sagesse intérieure depuis seulement une dizaine d’années. Il y avait aussi que Petit Chevreuil intérieur constatait de plus en plus à quel point il était en réaction à toute son enfance blessée, qu’il croyait pourtant guérie!

Mais il était une fois dans l’enfance, un Petit Chevreuil, deuxième faon d’une famille de sept faons, l’aîné de cinq mâles. Son père avait décelé en ce Petit Chevreuil à l’air intelligent, beaucoup de capacité et de potentiel. Beaucoup plus tard, papa Chevreuil lui raconta qu’à cinq ans, il conduisait déjà le tracteur de ferme et faisait le râtelage du foin. À six ou sept ans, Petit Chevreuil trayait les vaches, et à huit ou dix ans, il faisait, tout seul, les semences printanières des champs. En été, il fauchait le foin de tous les champs de la ferme, suivi du râtelage du foin en conduisant la jument; mais, au grand désespoir de Petit Chevreuil, ses muscles n’étaient pas assez forts pour engranger les balles de foins : il se sentait alors honteux d’être aussi faible. En fait, Petit Chevreuil était responsable de tous les travaux de la ferme, et ce, à l’année longue. Son père n’était présent à la maison que pour le repas du soir et pendant une partie de la fin de semaine, soit le dimanche. À l’automne, venait le temps des labours, parfois par grand froid, avec un tracteur inefficace en raison de son usure et de la faiblesse de son moteur; toutefois son père ne semblait pas se préoccuper de ces détails. Il y avait aussi l’immense quantité de bois de chauffage à entrer dans l’abri destiné à braver les intempéries hivernales. Et finalement, il y avait le train de l’étable à faire soir et matin, sept jours par semaine, soit tout juste avant d’aller à l’école le matin puis tout juste au retour de l’école. Que de besognes et de responsabilités pour un si jeune Chevreuil!

Par temps chaud, Petit Chevreuil aurait bien aimé aller à la plage de sa municipalité : refus catégorique de son papa Chevreuil qui avait très peur de l’eau. Il aurait aimé aussi aller pêcher dans le grand Lac St-Jean tout près de chez lui, mais encore là, interdiction du père due à sa peur de la noyade. Petit Chevreuil aurait pu au moins pratiquer des sports : aucun temps d’alloué pour cette activité — surtout qu’elle serait inutile, au dire du papa. Si le professeur lui infligeait une punition à l’école, il s’en voyait infliger une autre par son père au retour de l’école. C’est dans tous les « recoins » de cette intériorité que Grand Chevreuil n’osait regarder. « Mon Dieu aide moi à visiter mes recoins obscurs, peut-être suis-je davantage prêt maintenant? »

En tant que fermier, au fil de sa vie quotidienne, Petit Chevreuil aimait faire du nettoyage des lieux, ranger les choses à leur place, se débarrasser des choses devenues inutiles, et autres. L’intérieur de tous les bâtiments était parfaitement à l’ordre. Petit Chevreuil avait même brûlé, sans l’autorisation de son père, la carriole double et le « cutter » antiques — sortes de traîneaux à plusieurs passagers tirés par un cheval — et bien d’autres effets de la ferme ancestrale que son père avait religieusement gardés dû à son incapacité de se débarrasser de quoi que ce soit, ce qui, hélas! ou heureusement! n’était pas le cas de Petit Chevreuil.

Pourquoi travaillait-il autant ce Petit Chevreuil âgé de six ans, huit ans, dix ans, douze ans, quatorze ans et même seize ans? À quinze ou seize ans, il commença à délaisser les travaux de la ferme ainsi que le train du matin et du soir; c’est que ses trois jeunes frères avaient pris la relève. De plus, à onze ans, Petit Chevreuil avait commencé à travailler pendant les fins de semaine et durant les vacances d’été au taux horaire de cinquante sous, chez l’employeur de son père, un abattoir de volaille. Petit Chevreuil croyait qu’il serait dorénavant riche, même davantage que son père qui semblait toujours être sans le sou. Quelle ne fut pas sa déception, lorsque son père lui annonça, sur réception de sa première paye, que cet argent serait nécessaire pour combler les besoins financiers de la famille! Oui, toute une déception! Son trésor, son gros lot venait de s’envoler. Il s’ensuivit que, jusqu’à l’âge de vingt ans, Petit Chevreuil donnait ses chèques de paie à son père, non sans une certaine frustration; après un certain temps, le geste était toutefois devenu normal pour Petit Chevreuil. Mais d’un autre côté, ce dernier avait accès à tous les services du foyer familial : camionnette, nourriture et lingerie — il n’achetât toutefois jamais vraiment beaucoup de vêtements, et il choisissait généralement les moins dispendieux, par soucis d’économie familiale.

En fait, Petit Chevreuil n’avait aucune valeur personnelle à ses propres yeux, et ses parents ne lui en donnaient pas davantage. Qui plus est, Petit Chevreuil n’ayant aucune confiance en lui, alors il quémandait l’approbation de tout un chacun dans plusieurs domaines de sa vie.

À cinquante-sept ans, retraité depuis cinq ans, Grand Chevreuil travaillait maintenant la menuiserie en solo, un métier dans lequel il prenait conscience de son plein potentiel et qui l’amenait très souvent à se dépasser; mais quel stress il vivait ! Cette situation l’obligea à regarder les racoins intérieurs qui lui avaient fait si peur jusqu’à maintenant, c’est-à-dire se poser certaines « vraies questions ».  Cette nouvelle profession comblait son manque à gagner — un manque plus ou moins réel résultant de son insécurité financière. Même si la paie pécuniaire était importante pour Grand Chevreuil, l’appréciation de ses clients l’était davantage. D’un autre côté, son Petit Chevreuil intérieur blessé avait encore l’impression d’exister à travers ses réalisations physiques. C’est pourquoi, lors de ses temps libres ou encore entre deux contrats de menuiserie, cette impression d’exister était comblée chez Petit Chevreuil intérieur en réalisant de nombreuses actions bénévoles. Toutefois, son sentiment « d’être quelqu’un » était comme un entonnoir qui devait être constamment rempli par l’appréciation des autres. Tout en ne délaissant pas son bénévolat, Grand Chevreuil désirait maintenant, sans tout laisser tomber, vivre certains moments d’oisiveté de plus en plus longs, mais il était alors tiraillé par une grande peur intérieure. En effet, Grand Chevreuil s’interrogeait : « Que se passerait-il si je restais à ne rien faire pendant certains moments plus ou moins longs de ma journée? Est-ce que je mourrais d’ennui? Est-ce que les autres m’aimeraient encore? Arriverais-je à m’aimer encore même si je n’entendais plus leurs « Merci Petit Chevreuil »? ou sans entendre leurs « Tu es fantastique Petit Chevreuil »? Arriverais-je à m’aimer autant si certaines activités bénévoles cessaient d’exister du fait que je ne serais plus là pour les soutenir? Et si je devais mourir demain, ces activités existeraient-elles encore sans moi? Qu’adviendrait-il si, du fait de mon absence, ces activités ne se déroulaient plus aussi bien? — selon mon jugement personnel. Pourtant, lorsque je me projette dans le temps, et que je me vois assis paisiblement chez-moi dans un état « d’Être » pour un certain laps de temps, je me sens très confortable dans cet état-là. Et lorsque, toujours en projection, je me vois en train de vivre chez moi, simplement, tout près de ma Conjointe Chevreuil, je m’y sens très confortable, sachant qu’elle rêve de cette situation depuis fort longtemps.

Mon Dieu, en tant que Grand Chevreuil, j’ai grand besoin de prendre « ma retraite » des besoins dysfonctionnels de mon Petit Chevreuil intérieur blessé, de ne plus être habité par les personnages adultes de mon enfance qui devaient supposément me montrer ma valeur sans que j’aie toujours à travailler ou à m’activer. J’ai le goût d’essayer, très lentement et tout doucement, de relâcher un peu les rênes du contrôle.

Jésus, toi qui s’est présenté à moi sur cette plage de sable chaud lors de la méditation de samedi soir, aide-moi à ce que j’arrive à déposer dans tes mains tous les besoins dysfonctionnels ou inconscients de mon enfance. Aide-moi à ce que j’arrive à vraiment regarder les recoins si douloureux de mon passé. Aide-moi à vraiment déposer tout ça très doucement, petit à petit, dans le creux de ton cœur. Je te donne ma souffrance, produit de mes dysfonctions familiales; joints-les aux tiennes alors que tu es cloué sur la croix. Je sais que tu m’aimes et que tu m’aimeras toujours, principalement lorsque je reste assis à ne rien faire chez-moi, à simplement « ÊTRE ». Aide-moi à me voir et à m’aimer de la manière dont tu me vois et tu m’aimes.

Grand Chevreuil, fatigué de revivre encore et encore toutes ces souffrances du passé! X X

Fin de mon conte de fée.

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Règles suggérées pour l’écriture des lettres et du conte de fée. Ces règles sont reproduites ici pour une meilleure compréhension par le lecteur. 

Lettres entre l’adulte et son enfant intérieur  

Avant d’écrire ces lettres, nous aurons d’abord été invités à vivre une méditation (imagerie mentale) nous guidant vers l’âge de bambin, puis un peu plus tard, suivra une méditation vers l’âge scolaire (école primaire ou secondaire). Chacune des méditations aura été suivie d’un atelier de mise en situation où un des participants, chacun son tour, s’assoit sur une chaise, ferme les yeux fermés et devient l’enfant qu’il a rencontré lors de la méditation. Les autres personnes de son petit groupe jouent alors le rôle soit d’un bon parent ou de tout autre personnage que « l’enfant sur la chaise » aurait besoin de rencontrer. Le dialogue s’engage alors entre « l’enfant » et chacune des autres personnes qui elle, est dans un jeu de rôle. À noter que l’enfant assis sur la chaise ne joue absolument aucun rôle, il est dans sa réalité du passé. 

En résumé, ces activités se font dans cet ordre-ci : méditation du bambin, atelier de mise en situation, écriture de la lettre de/vers le bambin. Ensuite, méditation à l’âge scolaire, atelier de mise en situation, écriture de la lettre de/vers l’écolier. 

Dans ces lettres, l’adulte écrit de sa main dominante; la composition provient donc de la tête (l’hémisphère dominant du cerveau). La réponse du bambin ou de l’enfant d’âge scolaire (parfois de l’adolescent) est écrite de la main non dominante, elle émane donc du « cœur » (l’hémisphère non dominant du cerveau). 

Le conte de fée 

Il est totalement aléatoire. Il nous est demandé de raconter l’histoire d’un quelconque personnage en utilisant la troisième personne du singulier. Toutefois l’histoire doit être inspirée de notre histoire personnelle. Il est suggéré que le conte débute par « Il était une fois » : l’histoire se passe dans l’enfance où différentes blessures se sont installées. Puis le conte se poursuit par « Une fois devenu grand » : l’histoire raconte les réactions de cet enfant blessé vivant maintenant dans son corps devenu adulte. Le conte se termine par « Et puis » : ce personnage adulte, toujours décrit à la troisième personne du singulier, fait le constat que sa douleur et ses comportements malsains causés par la dysfonction familiale subie dans l’enfance l’amènent à demander de l’aide. 

Les présents textes n’ont été corrigés que légèrement afin de conserver l’originalité et la spontanéité ressenties par l’auteur au moment de la rédaction, surtout lorsque la dictée provient du cœur. Les noms et prénoms utilisés ici sont fictifs; toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existés serait purement fortuite. 

Note pour le lecteur : Tous les textes proposés ici ont été écrits pendant des intensifs de Retrouver l’Enfant en Soi (RES). 

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Générique (points de repère pour l’usage de l’auteur)

Lettres et conte de fée : RES # 8, le 9 mars 2007

(Majoric D\RES 7 Lettres et conte de fée 9 mars 2007 Anonymes.docx)

Lettres et conte de fée de Majoric D (corrigés le 18 août 2021)

(Rendu anonyme en changeant les prénoms et recorrigé légèrement le 9 juin 2024)

Révision : 10 septembre 2025

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