
Majoric
Lettres à l’Enfant Intérieur et Contes de Fée # 6
CF-RES–6, le 17 mars 2006, Titre: Un Petit Lion ayant grandi sur une ferme se retrouve dans une grande école de la ville.
Début des lettres
Note pour l’adulte que je suis (main dominante) : Pendant que je lirai les deux lettres qui suivent aux quatre personnes formant mon petit groupe d’atelier de la fin de semaine, je prendrai mon toutou Lion dans mes bras : il représente tellement bien mon petit Majoric intérieur blessé.
1- Lettre de l’adulte Majoric au petit Majoric à l’âge de bambin
Bonjour beau petit Majoric de mon enfance. Comment vas-tu? Comment te sens-tu?
Je ne t’ai pas écrit depuis longtemps — en réalité depuis six mois. Je t’aime, même si, de ce temps-ci, j’ai souvent de la difficulté à vraiment prendre soin de toi. Je suis très conscient que cela vient du fait que j’ai trop d’activités.
Je t’aime beaucoup et je suis très content que tu sois constamment présent au fond de moi! Tu es un petit garçon merveilleux et je veux être avec toi chaque jour de notre vie! Je sais que lorsque je mourrai, je te verrai entièrement, avec toute la beauté qui t’habite et qui est si inspirante pour moi.
Je t’Aime merveilleux et beau petit Majoric ! X X
Réponse du petit Majoric bambin à la lettre de l’adulte Majoric
Allô grand Majoric! Je suis vraiment content que tu sois mon nouveau parent. Avec toi, je me sens en sécurité et surtout, je me sens guidé. Il y a aussi mon enfant intérieur doué – petit Majoric Divin — qui me guide énormément. Oh! Que je suis chanceux de vous avoir dans ma vie intérieure!
Je sais que je veux constamment prendre toute la place dans ta vie et que je veux vraiment tout contrôler : c’est que j’ai tellement peur. Je crains d’avoir mal dans ma tête — dans mes idées —, mais surtout, j’ai très peur de mourir.
Mon grand Moi du futur, tu ne lâcheras pas ma main, hein?
Aime-moi, car moi je t’aime! Câlin!
2- Lettre de l’adulte Majoric au petit Majoric d’âge scolaire
Bonjour beau Majoric en septième année primaire — âgé de douze ans! Je t’aime!
Lors de la visualisation de ce matin, je t’ai vu jouer avec tes précieuses billes dans la cour de l’école de la ville. Tu crains tellement que ce jeu t’amène à les perdre. Tu les trouves tellement jolies, et qui plus est, c’est tout ce que tu possèdes vraiment dans ta vie. Tu voudrais faire comme les autres élèves pour en gagner davantage, mais d’un autre côté, tu sais que si tu les joues, tu risques de les perdre; et de fait, tu les perds toutes. Elles sont tellement jolies ces billes transparentes et de toutes les couleurs ; c’est pourquoi je veux prendre soin de ta peine à ce sujet.

Toujours âgé de douze ans et encore en septième année primaire, je t’ai vu te rendre à l’église à tous les matins pour assister à la messe, entouré de toutes ces personnes âgées. Je sais que tu faisais cela pour être protégé par Dieu alors que tu fréquentais cette grosse école de la ville. Je t’ai vu en classe, lors de la récitation des leçons, tu avais tellement peur de ne pas pouvoir répondre aux questions du professeur, de ne pas être au niveau des autres élèves, de ne pas paraître intelligent, de passer pour un « niaiseux » et de subir l’humiliation de te retrouver une fois de plus au dernier rang des trente élèves debout autour de la classe!
Je suis très fier de toi et de moi! Je suis fier de voir où toi et moi sommes rendus dans la vie aujourd’hui : être, en toute humilité et très souvent, un leader pour les gens qui nous entourent. Malgré notre enfance désastreuse, il est fantastique de constater à quel point nous avons réussi à récupérer ces années scolaires de la campagne, cher petit Majoric en septième année primaire!
Je t’Aime gros, comme un très gros sac de billes petit Majoric en septième année, à cette grande école primaire de la ville! X X
Réponse du petit Majoric d’âge scolaire à la lettre de l’adulte Majoric
Merci de toujours m’aimer ainsi! J’avais tellement peur lorsque j’étais à cette grosse école de la ville. Même aujourd’hui, au plus profond de toi, j’ai encore beaucoup peur, et même très souvent. C’est pour cette raison que, dans ma vie à l’intérieur de toi, il me faut toujours des grosses quantités de toutes sortes de choses.
Je t’aime mon moi du futur! Merci d’être là pour moi, mon bon parent toujours adéquat! Bisous! X X
CONTE DE FÉE RES # 6, le 17 mars 2006, par Majoric D.
Résumé du conte de fée # 6 : Un Petit Lion ayant grandi sur une ferme et ayant fréquenté l’école de sa campagne se retrouva dans une grande école de la ville. La froideur de son professeur, la trop grande cour de cette école de la ville et l’absence de son papa dans son enfance lui ont nui à bien des points de vue. L’assistance quotidienne à la messe du matin semblait être son unique planche de salut. Une fois devenu Grand Lion, son enfance dysfonctionnelle se répercuta sur sa conjointe et ses enfants. Grand Lion n’avait aucune identité et était prêt à tout faire pour être valorisé et aimé des autres lions. La découverte d’un groupe de soutien et d’une lionne psychothérapeute lui firent réaliser que plusieurs comportements de sa vie d’adulte résultaient de ses blessures d’enfance. Selon son groupe de soutien, ces blessures pouvaient être représentées par « l’existence » d’un Petit Lion intérieur blessé. Comment arriver à vivre sainement une vie de lion adulte sans réagir à toutes ces blessures du passé? À quel degré est-il vraiment possible d’en guérir, et comment?
Il était une fois un Petit Lion qui avait été élevé sur une ferme agricole et laitière. Il était le deuxième enfant d’une famille de sept enfants; il était le plus vieux de cinq lions mâles. À huit ans, Petit Lion était déjà le grand responsable de toute la ferme : faire les semences au printemps, couper et ramasser le foin en été, et faire les labours en automne. Et sans négliger de faire le train quotidien matin et soir — soit avant d’aller et au retour de l’école de campagne. Papa Lion n’était jamais là pour prendre soin de Petit Lion et de la ferme, car il devait travailler à la ville; il devait quitter très tôt le matin et revenir tard pour le repas du soir.
Petit Lion allait à l’école primaire de sa campagne : dix-huit élèves dans un même local, de la première à la sixième année du primaire, et ce, avec un seul professeur. Quand arriva l’âge de sa septième année primaire, il dut aller à la grande école de la ville, seul de son groupe, voyageant à bicyclette ou avec son père alors que celui-ci se rendait à son travail. Lors de la première dictée, il accumula cinquante fautes de français. Lors des tests de contrôle de la géographie et de l’histoire de son pays, Petit Lion ne se souvenait jamais de la matière étudiée : ces deux matières étaient vraiment trop abstraites pour lui. Le professeur, une dame d’un certain âge, était très sévère et exigeante. De l’avis de Petit Lion, la mise en punition semblait facile pour cette dame, mais plutôt exagérée lorsque les leçons n’étaient pas sues. La maman de Petit Lion l’assistait énormément lors des devoirs et de l’étude des leçons, car il ne savait pas comment s’y prendre. Son école de campagne ne lui avait pas vraiment appris comme effectuer ce travail.

Pendant les dix mois d’école de cette année-là, toujours âgé de douze ans, Petit Lion s’est rendu à l’église à tous les matins. Il était le seul enfant qui assistait à la messe parmi toutes ces personnes âgées; il ne pouvait se permettre d’être absent un seul matin tellement il craignait que ça se passe mal en classe cette journée-là. Petit Lion se souvient d’une fois où, jugeant que le professeur donnait trop de leçons à étudier, il avait alors laissé entendre le son : « Hein…! » Et le professeur de répondre : « Cela fait trois ans que j’enseigne à ce groupe sans que tu en fasses partie, et cela a toujours bien fonctionné, alors nous n’avons pas besoin de toi pour nous dire comment agir ».
« Mon cher Petit Lion intérieur, tu avais bien raison d’exprimer ta surprise et tes peurs face à tant de travaux et d’études à la maison, et ce professeur n’avait pas le droit de te parler de la sorte, surtout pas devant toute la classe ».
De plus, ce professeur lui talochait très souvent le derrière de la tête pour les nombreuses fautes de dictée qu’il faisait: chacune des fautes de français ou une mauvaise correction lui valait une tape derrière la tête. Pas étonnant alors que Petit Lion, lorsqu’il était en classe, ait peur, très peur même de ce professeur. « Il vaut vraiment mieux pour moi que je continue d’assister à la messe à tous les matins avec mon gang de personnes âgées, se disait Petit Lion ». À côté de ce professeur, de la grandeur de ses douze ans, Petit Lion avait l’impression qu’il n’avait aucune valeur, qu’il n’avait pas d’importance, qu’il n’était pas intelligent, qui plus est, on ne lui exprimait jamais aucune reconnaissance. Il réalisait que, dans la jungle infernale de cette grosse école de la ville, personne n’était là pour vraiment prendre soin de lui ou le protéger.
Tout au long de l’histoire de Petit Lion, Papa Lion était totalement absent. Seule Maman Lionne était présente du mieux qu’elle le pouvait, si on tenait compte de ses dysfonctions familiales et des six autres petits enfants lions dont elle devait prendre soin.
Dans la cour de récréation de cette immense école de sa septième année primaire, Petit Lion âgé de douze ans était complètement nul dans tous les sports de son âge — ballon coups de poings, baseball, vraiment tous les sports, même au jeu de billes. En parlant de jeu de billes, Petit Lion avait vingt-cinq petites billes dans un sac que Maman Lionne avait cousu pour lui. Il ne pouvait acheter plus de billes, car sa famille était sans le sou. Même si ces billes étaient tout son avoir, Petit Lion devait essayer de les jouer avec les autres élèves, car il en voulait davantage, il en voulait beaucoup plus. Pour cela, il devait devenir un bon joueur; hélas il n’avait jamais le temps d’apprendre, car aussitôt commencé, aussitôt il les perdait toutes. Dans ces moments-là, Petit Lion se sentait un vaurien, car il ne possédait plus rien.
Une fois devenu grand, Petit Lion devint Grand Lion. Il trouva une femelle lionne qui lui plaisait beaucoup. De leur union, naquirent une petite lionne et un beau petit lion. Toutes les blessures psychologiques de Grand Lion subies par Petit Lion dans son enfance se répercutèrent sur sa lionne bien aimée, sur leurs deux lionceaux, et sur le reste de la meute — ses frères et sœurs, ses amis de tous les jours et ses confrères de travail.
Et puis, Grand Lion, n’en pouvant plus de voir la souffrance psychologique qu’il infligeait à ses deux lionceaux, il chercha de l’aide auprès d’une fraternité anonyme. C’est ainsi qu’il trouva un endroit où d’autres lions adultes, blessés eux aussi par leur enfance, n’en pouvaient plus d’en blesser d’autres. Ils se réunissaient en groupe pour s’entraider à prendre soin de leurs blessures d’enfance et à les cicatriser. C’est à ce moment-là que Grand Lion se rendit compte qu’il était habité par un Petit Lion intérieur blessé à bien des points de vue. En parallèle avec cette démarche de groupe, Grand Lion entreprit une thérapie privée qui s’échelonna sur huit années afin de découvrir son identité et rétablir la santé phycologique et spirituelle de son Petit Lion intérieur blessé.
Toutes ces démarches de rétablissement permirent à Grand Lion de réaliser que son Petit Lion intérieur blessé acceptait d’effectuer bénévolement plein de tâches pour les autres afin de se prouver à lui-même qu’il était adéquat, capable et intelligent. En prenant conscience de la valeur que lui reflétaient les autres lions, Grand Lion était rassuré sur sa propre valeur. Ayant atteint un certain niveau de rétablissement, Grand Lion n’éprouvait plus ce besoin de prouver sa valeur aux autres, toutefois il devait constamment se la prouver à lui-même en « Faisant » des choses et non pas « en Étant » dans son corps. Grand Lion était physiquement épuisé de vivre de cette manière à longueur de journée, à tous les soirs et à chacune des fins de semaine. Oui, vraiment, il était épuisé! Qui plus est, son Petit Lion intérieur craignait toujours de débuter de nouveaux projets; c’est que personne ne lui avait dit qu’à trois ans, cinq ans, huit ans, dix ans et même treize ans, il était normal de ne pas savoir comment construire une salle de bain, une cuisine ou installer de la céramique dans une tanière, surtout qu’il n’avait pas eu de Papa Lion présent dans son enfance pour lui enseigner tout ce qu’un Petit Lion devait savoir, selon l’âge qu’il avait.
L’auteur de ce conte de fée dit à son Petit Lion intérieur : « Mon beau Petit Lion intérieur blessé, il est normal de ne pas tout savoir dans l’enfance, donc que tu aies peur face à ces gros travaux que moi, l’adulte que tu es devenu, j’ai à effectuer. Sache que ce n’est pas toi qui vas effectuer ces travaux. Si tu veux bien, fais juste m’accompagner lors de ces travaux et tu verras comment moi, ton toi d’adulte, je m’y prends. Je profite de l’occasion pour te dire, mon beau Petit Lion intérieur, que tu n’as pas à accepter toutes ces tâches de bénévolat qui te sont demandées, car tu auras autant de valeur à mes yeux, même si tu n’en acceptes aucune. Mon Dieu, toi qui es à la fois mon papa et ma maman spirituels, accompagne mon Petit Lion intérieur blessé dans ce processus de guérison. »
Et puis, en rapport avec le fameux jeu de billes de la septième année primaire, Grand Lion, habité par son Petit Lion intérieur blessé, continuaient toujours de faire des réserves, même de très grandes réserves, sous forme d’accumulation de bois de chauffage, d’argent, d’outils et autres. Tous deux continuaient d’être prisonniers de ce besoin pressant d’accumuler davantage et toujours plus : le tas de bois de chauffage, le compte de banque ou autres choses n’étaient jamais suffisants pour Grand Lion et Petit Lion intérieur blessé.
Grand Lion, l’auteur de ce conte de fée dit à son Petit Lion intérieur blessé : « Tu as bien raison de vouloir faire de si grosses réserves, tu as tellement manqué de tout dans ton enfance, tu n’avais à peu près aucun équipement agricole pour effectuer tes tâches de la ferme. C’est normal que tu ne te sentes pas du tout en sécurité. À partir de maintenant, veux-tu nous faire confiance, au lion adulte que tu es devenu et à notre conjointe lionne Lilou? Contrairement à ton enfance, nous ne manquerons jamais de l’essentiel pour vivre. De toute façon, crois-moi, même si nous manquions de certaines choses, ça ne serait jamais aussi souffrant que ça l’était dans ton enfance. »
Grand Lion, l’auteur de ce conte de fée fait maintenant cette prière : « À toi, cher papa Lion David décédé, et à toi chère maman Lionne Rachelle également décédée, pourriez-vous, d’où vous êtes, rassurer et peut-être guérir mon cher Petit Lion intérieur blessé? »
Grand Lion était tellement fatigué de tant travailler, qu’il ne se rendait plus compte que son Petit Lion intérieur blessé prenait parfois toute la place en lui. C’est que Petit Lion intérieur avait besoin de la présence d’un parent aimant, d’être guidé, d’être pris en charge à partir de là où il avait été laissé dans son enfance. Seuls Grand Lion suprême, papa Lion David et maman Lionne Rachelle, tous deux décédés, pouvaient vraiment apporter de la guérison à ses blessures d’enfance.
« Cher Petit Lion intérieur blessé, tu as le droit de continuer d’être toi-même, même si je suis parfois très fatigué. C’est à moi, Grand Lion, de réaliser que ma fatigue prend sa source dans les profondes blessures d’enfance qui t’habitent, et de décider d’examiner tout cela avec toi, cher Petit Lion intérieur blessé. Je veux t’aider et devenir ton parent aimant afin que tu aies moins mal à ton enfance. Continue de désirer « Être » à l’intérieur de moi, et moi je vais continuer de t’aimer et de m’aimer. Je nous aime! » X X
Petit Lion intérieur (main non dominante) : Moi aussi je t’aime cher Grand Lion, et je me sens en sécurité lorsque tu prends soin de moi comme ça! Câlin et bisou! X
Fin de mon conte de fée.
Règles suggérées pour l’écriture des lettres et du conte de fée. Ces règles sont reproduites ici pour une meilleure compréhension par le lecteur.
Lettres entre l’adulte et son enfant intérieur
Avant d’écrire ces lettres, nous aurons d’abord été invités à vivre une méditation (imagerie mentale) nous guidant vers l’âge de bambin, puis un peu plus tard, suivra une méditation vers l’âge scolaire (école primaire ou secondaire). Chacune des méditations aura été suivie d’un atelier de mise en situation où un des participants, chacun son tour, s’assoit sur une chaise, ferme les yeux fermés et devient l’enfant qu’il a rencontré lors de la méditation. Les autres personnes de son petit groupe jouent alors le rôle soit d’un bon parent ou de tout autre personnage que « l’enfant sur la chaise » aurait besoin de rencontrer. Le dialogue s’engage alors entre « l’enfant » et chacune des autres personnes qui elle, est dans un jeu de rôle. À noter que l’enfant assis sur la chaise ne joue absolument aucun rôle, il est dans sa réalité du passé.
En résumé, ces activités se font dans cet ordre-ci : méditation du bambin, atelier de mise en situation, écriture de la lettre de/vers le bambin. Ensuite, méditation à l’âge scolaire, atelier de mise en situation, écriture de la lettre de/vers l’écolier.
Dans ces lettres, l’adulte écrit de sa main dominante; la composition provient donc de la tête (l’hémisphère dominant du cerveau). La réponse du bambin ou de l’enfant d’âge scolaire (parfois de l’adolescent) est écrite de la main non dominante, elle émane donc du « cœur » (l’hémisphère non dominant du cerveau).
Le conte de fée
Il est totalement aléatoire. Il nous est demandé de raconter l’histoire d’un quelconque personnage en utilisant la troisième personne du singulier. Toutefois l’histoire doit être inspirée de notre histoire personnelle. Il est suggéré que le conte débute par « Il était une fois » : l’histoire se passe dans l’enfance où différentes blessures se sont installées. Puis le conte se poursuit par « Une fois devenu grand » : l’histoire raconte les réactions de cet enfant blessé vivant maintenant dans son corps devenu adulte. Le conte se termine par « Et puis » : ce personnage adulte, toujours décrit à la troisième personne du singulier, fait le constat que sa douleur et ses comportements malsains causés par la dysfonction familiale subie dans l’enfance l’amènent à demander de l’aide.
Les présents textes n’ont été corrigés que légèrement afin de conserver l’originalité et la spontanéité ressenties par l’auteur au moment de la rédaction, surtout lorsque la dictée provient du cœur. Les noms et prénoms utilisés ici sont fictifs; toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existés serait purement fortuite.
Note pour le lecteur : Tous les textes proposés ici ont été écrits pendant des intensifs de Retrouver l’Enfant en Soi (RES).
Générique (points de repère pour l’usage de l’auteur)
Lettres et conte de fée : RES # 6, le 17 mars 2006
(Majoric D\RES 6 Lettres et conte de fée 17 mars 2006 Anomymes.docx)
Lettres et conte de fée de Majoric D (corrigés le 7 août 2021)
(Rendu anonyme en changeant les prénoms et recorrigé légèrement le 5 juin 2024)
Révision : 15 janvier 2025