Majoric


Lettres à l’Enfant Intérieur et Contes de Fée # 14


CF-RES–14, le 20 septembre 2022, Titre : Un arbre ayant perdu une bonne partie de son essence de sapin, voit, au fil de sa vie, apparaître des feuilles sur son tronc. Quelle en est donc la cause? Et comment en guérir?

Début des lettres 

1- Lettre de l’adulte Majoric au petit Majoric à l’âge de bambin 

 Adulte (main dominante) : Bonjour Petit Majoric que j’ai vu lors de la méditation d’hier soir, comment vas-tu ce matin?

Petit Majoric (main non dominante) : Ouf! Présentement ça me fait mal dans mon cœur, car un participant m’a jugé sévèrement ce matin. Pourtant j’aime cette personne, et je sais qu’il est dans l’erreur dans ce qu’il a dit à propos de moi.

Adulte (main dominante) : Tu as bien raison d’avoir mal; tu as simplement fait de ton mieux auprès de chacun des participants. Même si cette personne vit parfois très près de toi, elle te voit à travers les yeux de ses blessures d’enfance. Comment te sens-tu lorsque je te dis cela?

Petit Majoric (main non dominante) : Ça me fait beaucoup de bien lorsque tu me parles ainsi, sinon la blessure déclenchée en moi par ce participant prendrait toute la place. Je n’arrive jamais à gérer sainement les situations impliquant des gens que j’aime, c’est-à-dire des personnes à qui j’accorde beaucoup d’importance.

Adulte (main dominante) : Je te remercie cher Petit Majoric d’être si honnête et si authentique envers moi. Si tu veux bien, nous allons tout simplement remettre cette situation et la souffrance qui t’habite dans les mains de notre Dieu. Qu’en penses-tu?

Petit Majoric (main non dominante) : De la manière dont tu me le proposes, je veux bien. Tu prends tellement bien soin de moi, toi, mon moi adulte. Je me sens bien avec toi et je t’aime!

2- Lettre de l’adulte Majoric au petit Majoric d’âge scolaire 

Adulte (main dominante) : Bonjour Majoric, mon bel adolescent en neuvième année secondaire que j’ai rencontré dans la méditation guidée de ce matin. Je t’aime et j’aime l’énergie qui se dégage de toi. Comment te sens-tu présentement?

Majoric d’âge scolaire (main non dominante) : J’ai encore beaucoup de peine en repensant aux trois voyous que tu as vus dans la méditation de ce matin. Aussitôt qu’ils me voient, ils se moquent de mon bégayement. Ils ne se gênent pas pour m’humilier et me ridiculiser en présence des autres élèves, moi en qui la confiance personnelle est déjà à son plus bas niveau. Pendant l’atelier qui a suivi, alors que je me trouvais assis sur la chaise, j’ai ressenti l’immense énergie d’amour que j’ai reçu d’un des papas de remplacement : il m’a donné plein de tendresse et d’approbation. Wow, wow que ça fait du bien!

Adulte (main dominante): Tu as bien raison beau Majoric adolescent de quatorze ans d’avoir si mal. Ces voyous n’avaient pas le droit d’agir ainsi avec toi. Je te permets de leur dire dès maintenant ce que tu te permets de dire parfois. Revois la scène et vas-y, je t’écoute :

Majoric d’âge scolaire (main non dominante) : « Vous trois, sales voyous, mangez tous d’la marde, ostie! Dégagez de ma vue sales voyous! »

Adulte (main dominante): C’est très bien mon cher Grand Majoric adolescent! Je suis très fier de toi. C’est vrai qu’ils ne sont que des voyous. En te permettant à toi-même ce matin de leur crier ces « vilains mots », il y aura, un jour, du pardon qui se sera fait en toi. Je te remercie d’être toi-même et d’être la source de cette belle sensibilité qui m’habite. Je t’aime Petit Majoric de l’école primaire et Grand Majoric de l’école secondaire! X X

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CONTE DE FÉE    RES # 14,le 20 mars 2009, Par Majoric D.

Résumé du conte de fée # 14: Un jour, Petit Sapin fut mandaté par Grand Sapin suprême pour répandre l’Amour sur terre. Toutefois la maman de Petit Sapin semblait croire en un autre dieu et à l’existence d’une « fournaise » éternelle. Quels effets ont produit les croyances de sa maman et les absences de son papa sur Petit Sapin? Une fois devenu adulte, qu’adviendra-t-il de sa sexualité avant et pendant sa vie conjugale? Les comportements dysfonctionnels de Petit Sapin et de Sapinette, sa conjointe, se propagèrent jusque chez leurs enfants : il fallait voir les terribles effets dysfonctionnels internalisés chez ces enfants. À bout de souffrances, Petit Sapin se joignit à une fraternité anonyme; ce nouveau mode de vie suffira-t-il à redresser la situation? Petit Sapin arrivera-t-il à découvrir sa propre identité? Où en était-il par rapport à la mission d’origine reçue de Grand Sapin suprême? Quelle place occupait une nouvelle puissance supérieure dans sa spiritualité? Il ne faut pas manquer le dialogue final entre l’auteur — Majoric Adulte — et les personnages spirituels qui l’habitent, eux qui lui sont si chers!

Début du conte de fée :

Il était une fois un arbrisseau qui s’appelait Petit Sapin. Vivant dans le Paradis des sapins, il avait reçu une mission de la part du Grand Sapin suprême : « Petit Sapin, je te donne comme mission d’aller sur terre, dans un corps de sapin, et d’arriver à te connaître suffisamment pour en venir à répandre l’Amour chez les autres sapins de ton entourage. Ainsi, à la fin de ta vie terrestre et même possiblement avant la fin, tu pourras devenir toi aussi l’Amour, comme moi, ton créateur. Tu pourrais même me dépasser; cela ne m’enlèverait rien, au contraire, cela m’en redonnerait, car, dans l’Amour, toi et moi ne faisons qu’un seul et même Être. Ainsi tu participerais au fait que l’Amour que je suis prenne sa pleine expansion chez tous les sapins de la terre. » La mission était on ne peut plus claire et sérieuse.

Il s’en suivi qu’un beau matin, Petit Sapin se réveilla dans une forêt arborant plusieurs essences d’arbre. Il avait vu le jour après qu’une graine de sapin mâle se soit frottée à celle d’une maman sapin. Toutefois ses nouveaux parents sapins ne connaissaient pas « Grand Sapin suprême », ils connaissaient seulement l’existence d’un Sapin suprême en qui d’autres sapins du voisinage leur avaient fortement suggéré de croire. Ils l’appelaient Sapin D.

Maman Sapin croyait que tous les sapins devaient croire en Sapin D, sinon ils ne pourraient aller au paradis des sapins à la fin de leur vie terrestre; ils seraient plutôt jetés dans une grande fournaise, chauffée à bloc, où tous les sapins non croyants se font chauffer la bûche éternellement, mais, étrange phénomène, sans jamais être consumée. L’ensemble des bûches individuelles devenait alors si calciné que chacune d’elles était méconnaissable parmi toutes les autres bûches. Cette fournaise-là faisait penser à une sorte d’enfer. Alors il n’était absolument pas question pour Petit Sapin que lui, ses frères et ses sœurs cadets se retrouvent un jour dans cette fournaise éternelle.

Au tout début de sa vie, Petit Sapin était très élégant. Ses aiguilles de sapin reluisaient au soleil, si bien que même lui se trouvait radieux. Cependant, il ne remarquait pas que chaque fois que sa maman exigeait des choses contraires à son essence de sapin, des aiguilles de d’autre essences d’arbre apparaissaient sur son tronc. Ainsi, d’exigence en exigence, Petit Sapin se retrouva avec des aiguilles de mélèze, de cyprès, de pin rouge et de pruche. Ces aiguilles étaient pourtant si semblables qu’on aurait dit des aiguilles de sapin — la maladie du mélange d’essence est parfois insidieuse et très subtile. Toujours est-il que Petit Sapin était totalement inconscient de toutes ces sortes d’aiguilles qu’il portait, même qu’il croyait que c’étaient des aiguilles normalement attribuées à son essence de sapin.

Pendant ce temps, papa sapin était plutôt absent de cette forêt : trop occupé à travailler à l’extérieur afin d’apporter les sels minéraux nécessaires à la croissance physique de chacun des sapins de sa famille. Mais Petit Sapin, désirant tellement être aimé de son papa, travaillait constamment à la ferme familiale : vaches, cochons, volailles, travaux de semences et de fenaison, labours et autres travaux de la ferme — vous savez, cette grande étendue de terre indispensable à la survie des humains, à ce que l’on dit! Petit Sapin n’avait toutefois pas remarqué qu’à chaque fois que son papa lui manquait profondément, que ce soit de façon consciente ou pas, une feuille poussait sur son tronc de sapin.

Une fois devenu grand, Petit Sapin ne s’était pas rendu compte que le Sapin suprême de son papa et de sa maman, c’est-à-dire le Sapin D, avait envahi toute sa spiritualité. Ainsi, pour plaire à Sapin D et être aimé de son papa et de sa maman, Petit Sapin avait complètement délaissé sa sexualité. Il n’avait jamais frotté sa cocotte à la cocotte d’une sapine, et même qu’il ne s’était jamais permis de secouer lui-même sa cocotte. Pourtant elle aurait bien eu besoin de se branler au gré du vent de temps à autre. Mais, tout cela lui était interdit de par les croyances de ses parents. Même après avoir rencontré puis fréquenté Sapinette — « une jolie » sapine femelle très intéressante — pendant trois longues années, Petit Sapin n’avait jamais touché ni mis sa cocotte dans son cocotier. Cette absence forcée de « relation » avait créé toutes sortes de tensions entre ces deux amoureux, sans parler des bouleversements journaliers que cette absence de sexualité engendrait dans leur vie respective en général.

Quelques années plus tard, toutes les peurs de Petit Sapin par rapport à Sapin D se transposèrent dans les croyances des deux rejetons de Petit Sapin et de Sapinette. Les comportements dysfonctionnels de ces deux parents envahirent leurs deux enfants en peu de temps : leur tronc se trouva eux aussi rempli de plusieurs sortes d’aiguilles et qui plus est, il portait de multiples essences de feuilles. À l’image de Petit Sapin, ses rejetons sapins étaient tous deux des bizarres de sapins. Tout cela faisait mal, très mal à Petit Sapin, mais que pouvait-il y faire?

Quelques années s’écoulèrent, puis Petit Sapin suivit des cours de théologie à l’université des sapins : sorte de cours très poussés où l’on étudie la spiritualité des arbres. Petit Sapin appréciait tellement ces cours qu’il finit par obtenir un certificat en théologie. Ce certificat lui permit de se libérer en bonne partie de Sapin D, faisant ainsi de la place à Sapin Théo : celui-ci était beaucoup plus adéquat pour la vie spirituelle de Petit Sapin, de Sapinette et leurs deux enfants. Mais Petit Sapin, du fait de l’éducation reçue dans son enfance, était très rigide à propos de l’obéissance des enfants, et il pouvait aller jusqu’à administrer des coups corporels pour se faire obéir; comme il se détestait suite à ces nombreuses périodes de crise de colère!

Et puis, en février 1991, n’en pouvant plus de porter toute cette souffrance, Petit Sapin se joignit à une fraternité anonyme au sein de laquelle des sapins adultes prenaient soin de leur petit sapin intérieur blessé. C’est au sein de ce groupe de soutien que Petit Sapin apprit à reconnaître que certaines des aiguilles qui recouvraient son tronc ne lui appartenaient pas. Il y apprit aussi qu’un sapin ne devrait normalement pas porter de feuilles. Un peu plus tard, Petit Sapin prit conscience qu’il avait vraiment perdu son identité de sapin; c’était surtout dû au fait que certains arbres adultes de d’autres essences avaient abusé de lui en venant mélanger leur essence d’arbre à la sienne durant son enfance.

En continuant de fréquenter les membres de différentes fraternités anonymes, Petit Sapin fut amené à vivre plusieurs intensifs de fin de semaine. Ces membres avaient tous comme point de mire la « Spiritualité, l’Amour et la Sexualité (SAS) » — on y parlait aussi de la « cocotte » dans le « cocotier ». Petit Sapin entreprit également une psychothérapie individuelle qui s’échelonna sur huit ans auprès d’une sapinette qui faisait très attention de ne pas mélanger son essence d’arbre à celle de Petit Sapin. En fait, elle travaillait auprès de Petit Sapin pour qu’il arrive à identifier, puis se débarrasser des aiguilles et des feuilles qui ne lui appartenaient pas, surtout que ces intrus empoisonnaient son essence fondamentale. Cette longue et laborieuse recherche amena finalement Petit Sapin à découvrir sa propre identité.

Par la suite, Petit Sapin vécu à maintes reprises l’intensif de fin de semaine « Retrouver l’Enfant Sapin en Soi (RES) ». Cette activité spirituelle et psychologique commença à brancher graduellement Petit Sapin sur la découverte d’un Dieu tel qu’il le concevait. Curieusement, ce Dieu semblait être de plus en plus « Grand Sapin suprême »! Enfin! Petit Sapin pouvait revenir graduellement à sa mission d’origine que lui avait confiée Grand Sapin suprême : « Petit Sapin, je te donne comme mission d’aller sur terre, dans un corps de sapin, et d’arriver à te connaître suffisamment pour en venir à répandre l’Amour chez les autres sapins de ton entourage. Ainsi, à la fin de ta vie terrestre et même possiblement avant la fin, tu pourras devenir toi aussi l’Amour, exactement comme-moi ton créateur. Tu pourrais même me dépasser; cela ne m’enlèverait rien, au contraire, cela m’en redonnerait, car, dans l’Amour, toi et moi nous ne faisons qu’un seul et même Être. Ainsi tu participerais à ce que l’Amour que je suis prenne sa pleine expansion chez tous les sapins de la terre. »

Drôle de coïncidence, Petit Sapin écoutait à tous les matins un disque de bois sur lequel un Sage Arbre nommé Alain D osait proposer comme mission de vie celle que Petit Sapin avait reçue de Grand Sapin suprême.

Wow, wow! Comme Petit Sapin aimait cette sorte de spiritualité où Grand Sapin suprême ne se présentait pas en maître absolu, même si effectivement il l’était. Petit Sapin travaillait à améliorer son degré d’humilité afin de rejoindre Grand Sapin suprême au niveau du sol, car cet être suprême, toutefois si simple, semblait baigner constamment dans l’humilité absolue.

Comment te sens-tu mon cher petit Majoric intérieur à la suite de cette belle histoire?

Petit Majoric (main non dominante): Ouf! La soirée est très avancée, il est tard et je suis très fatigué, mais je me sens tellement bien avec toi lorsque tu me parles ainsi!

Majoric Adulte (main dominante): Maintenant, toi mon bel Enfant Divin et mon beau grand Adolescent Divin, sans oublier mes êtres spirituels chargés de m’assister dans l’accomplissement de ma mission reçue de Dieu, j’ai besoin de vous tous pour être guidé dans ma quête de « Qui suis-je? »; cette quête qui, au fur et à mesure que je découvre des réponses, n’arrête jamais de prendre de l’expansion. Je vous aime mes chers Êtres spirituels intérieurs!

Merci mon Dieu d’être qui tu es et de toujours me guider vers « moi-même », vers mon chez Moi, et de m’aider à entrer de plus en plus dans ma Maison!

Petit Majoric (main non dominante): Comme je suis bien dans tes grands bras, mon cher moi d’adulte!

Majoric Adulte (main dominante): Il est maintenant 23h58, alors allons faire dodo, car tout comme toi, cher Petit Majoric, je suis très fatigué. Quelle belle et bonne journée nous avons vécue tous ensemble! Merci mon Dieu!

Fin de mon conte de fée.

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Règles suggérées pour l’écriture des lettres et du conte de fée. Ces règles sont reproduites ici pour une meilleure compréhension par le lecteur. 

Lettres entre l’adulte et son enfant intérieur  

Avant d’écrire ces lettres, nous aurons d’abord été invités à vivre une méditation (imagerie mentale) nous guidant vers l’âge de bambin, puis un peu plus tard, suivra une méditation vers l’âge scolaire (école primaire ou secondaire). Chacune des méditations aura été suivie d’un atelier de mise en situation où un des participants, chacun son tour, s’assoit sur une chaise, ferme les yeux fermés et devient l’enfant qu’il a rencontré lors de la méditation. Les autres personnes de son petit groupe jouent alors le rôle soit d’un bon parent ou de tout autre personnage que « l’enfant sur la chaise » aurait besoin de rencontrer. Le dialogue s’engage alors entre « l’enfant » et chacune des autres personnes qui elle, est dans un jeu de rôle. À noter que l’enfant assis sur la chaise ne joue absolument aucun rôle, il est dans sa réalité du passé. 

En résumé, ces activités se font dans cet ordre-ci : méditation du bambin, atelier de mise en situation, écriture de la lettre de/vers le bambin. Ensuite, méditation à l’âge scolaire, atelier de mise en situation, écriture de la lettre de/vers l’écolier. 

Dans ces lettres, l’adulte écrit de sa main dominante; la composition provient donc de la tête (l’hémisphère dominant du cerveau). La réponse du bambin ou de l’enfant d’âge scolaire (parfois de l’adolescent) est écrite de la main non dominante, elle émane donc du « cœur » (l’hémisphère non dominant du cerveau). 

Le conte de fée 

Il est totalement aléatoire. Il nous est demandé de raconter l’histoire d’un quelconque personnage en utilisant la troisième personne du singulier. Toutefois l’histoire doit être inspirée de notre histoire personnelle. Il est suggéré que le conte débute par « Il était une fois » : l’histoire se passe dans l’enfance où différentes blessures se sont installées. Puis le conte se poursuit par « Une fois devenu grand » : l’histoire raconte les réactions de cet enfant blessé vivant maintenant dans son corps devenu adulte. Le conte se termine par « Et puis » : ce personnage adulte, toujours décrit à la troisième personne du singulier, fait le constat que sa douleur et ses comportements malsains causés par la dysfonction familiale subie dans l’enfance l’amènent à demander de l’aide. 

Les présents textes n’ont été corrigés que légèrement afin de conserver l’originalité et la spontanéité ressenties par l’auteur au moment de la rédaction, surtout lorsque la dictée provient du cœur. Les noms et prénoms utilisés ici sont fictifs; toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existés serait purement fortuite. 

Note pour le lecteur : Tous les textes proposés ici ont été écrits pendant des intensifs de Retrouver l’Enfant en Soi (RES). 

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Générique (points de repère pour l’usage de l’auteur)

Lettres et conte de fée : RES # 14, le 20 mars 2009

(Majoric D\RES 14 Lettres et conte de fée 20 mars 2009 Anonymes.docx)

Lettres et conte de fée de Majoric D (corrigés le 20 septembre 2022) 

(Rendu anonyme en changeant les prénoms et recorrigé légèrement le 16 septembre 2024)

Révision : 03 juillet 2025

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